Association Revivre
Personne de contact : Docteur Marie LAGENTE pour l’Association REVIVRE initiée par Sœur Claire FRANCOIS (†)
En collaboration avec d’autres associations situées en France et en Suisse, Opération Secours soutient l’association Revivre fondée par le Docteur Claire FRANCOIS, aujourd’hui décédée mais dont l’initiative se poursuit via une Fondation. Les activités s’orientent dans cinq directions :
- la formation, en particulier celle de professionnels responsables spécialement dans le domaine des lois sociales, de la gestion et de la comptabilité ;
- l’appui aux jeunes en difficulté : aide médicale, bourses d’études professionnelles manuelles, prêts pour démarrer de petites coopératives ;
- une aide et un suivi pour la mise en place d’écoles en milieu rural : soit en mettant l’accent sur le travail manuel surtout agricole, soit encore en imprimant des fascicules scolaires conformes aux programmes ;
- la création de centres de soins préventifs en milieu rural défavorisé et sur les îles voisines ;
- la préparation active de la relève et l’association de jeunes malgaches compétents et responsables à l’action initiée par Claire FRANCOIS ;
- le développement des énergies renouvelables tout en luttant contre la déforestation intensive (concentrateurs solaires de préférence aux panneaux très onéreux, biogaz à partir de déjections d’animaux ce qui permettra de résoudre le problème des égouts et des fosses ; etc.).
Concrètement, Opération-secours participe financièrement à plusieurs des projets de l’Association Revivre :
- Le suivi médical de la petite Mino atteinte d’une malformation du pied et qui a dû et doit encore subir des opérations chirurgicales, suivre de la rééducation et porter des chaussures orthopédiques ;
- La Ferme pédagogique de John Rakotoarison. Bras droit de Sœur Claire (†), John gère une ferme qui commence, après plusieurs années, à prendre de l’extension ; composée d’un élevage de poulets, d’une porcherie, d’une étable et d’une laiterie gérée par son épouse Nadia, l’ensemble fait vivre désormais six familles ;
- Le soutien financier de Miora, une jeune agronome qui a la charge de son frère handicapé mental ;
- La participation à la constitution d’un fonds spécifique pour financer les soins aux malades nécessiteux, les mutuelles étant inexistantes à Madagascar.
